De : Marie-Delphine FERRONE <"marie-ferrone1."@dream.ocn.ne.jp>
Date : 25 janvier 2017 à 17:43
Objet : LISEZ MA LETTRE
À :


Je sais que ce message, vous apparaîtra comme une surprise puisse que nous ne nous connaissions pas mais la grâce de Dieu m'a dirigé vers vous. Lisez attentivement et soyez bénis au nom de Jésus. J'ai été toute ma vie une femme stérile et diabétique; Aujourd’hui une femme mourante, en sous observation médical; les médecins me traitant me disent que mes jours sont comptés, mais je garde ma foi en DIEU. Je fus une Expertise-Comptable, au Service des Affaires Financières de la Société Italo-tunisienne d'Exploitation Pétrolière (SAF/SITEP) et d'origine Française ensuite j'ai été en République du Bénin (année 2001) où je voulais mettre en place plusieurs entreprises quand cette maladie m’a touché.

Vue mon état de santé qui ne cesse point de se dégradé de jour en jour, je compte donc léguer l'une de mes fortunes d’argent disponibles dans l'une des Banques en République du Bénin, le montant soit Neuf Cent sept mille Euros (907.000€) coffré dans une mallette que J'avais gardé pour la construction d'une fondation humanitaire d'aide aux orphelins.

N'ayant pas un héritier légal, je vous sollicite vivement suite à une recherche faite sur votre personnalité sur le net, accepter cette offre pour m'aider à réaliser mes vœux, à construire une fondation humanitaire à mon nom, puis apporter d'aide aux plus démunis car ceci serait une œuvre caritative venant d'une veuve qui n'a pas eu d'enfant et m'aidera à aller reposer dans la paix du christ.

Je vous prie d'accepter cela car c'est un don que je vous fais et cela sans rien demander au retour. Je souffre énormément et j'ai très peur, je n'arrive presque pas à dormir la nuit comme la Journée car je ne veux pas mourir sans avoir fait don de cet argent sinon je pense que cela serait un gâchis. Si vous êtes d’accord j’attends donc votre réponse à mon message à cette adresse :

car c’est la boite que je consulte le plus souvent.
Que la Paix du Seigneur soit avec vous.
Marie-Delphine FERRONE